Qui aurait cru aux Hautes-Côtes comme grand terroir de Bourgogne il y a encore 15 ans... ? Des " terroirs gélifs où rien ne mûrissait " vous dirait Benoit Riffault au Domaine Étienne Sauzet. Aujourd’hui, tout a changé ! Avec Pierre-Yves Colin-Morey (une autre icône de Bourgogne), ils ont misé sur ces terroirs avec audace en rachetant un petit village en direction de Nolay. " Un superbe endroit, un peu comme le coteau ouest rocheux de Saint-Romain... " confie Benoît. Ils y ont sugreffé des chardonnays, et replanté une partie en haute densité. Tout est mené en biodynamie, et mené exactement comme les vignes de Puligny. 2020 est le 5ème millésime de ce duo dans les Hautes-Côtes ! En cave, Benoît précise que la différence avec les autres vins du domaine réside dans les fermentations en foudre au lieu de fûts. Un moyen de booster la minéralité qu’il qualifie de plus granuleuse, et d’éclaircir la gamme aromatique. Il y naît des vins de plaisir qui allient précision et gourmandise ! Chez Chais d’œuvre, nous achetons désormais ces Hautes-Côtes les yeux bandés car les rapports prix/plaisirs sont superbes. En effet, le foncier n’est pas à plusieurs millions l’hectare et permet d’appliquer une belle viticulture, tout en préservant l’accessibilité des flacons. Les passionnés de grands vins qui rêvent des crus du domaine comme Combettes ou Perrières, trouveront dans ces Hautes-Côtes une mise en bouche de grand style !
Depuis le début de cette année 2021, nous martelons le message en espérant qu’il vous touche : 2020 est superbe chez Sauzet, une année du feu (le domaine sera sûrement classé 3 étoiles RVF en septembre) grâce à ce millésime impressionnant ! Il propose concentration, énergie, fraîcheur, maturité, état sanitaire génial. On ne dira pas la même chose avec les 2021, que Benoît Riffault nous a fait déguster rapidement avec Louise et Théo... Il y a ¼ de récolte et c’est assez « tendu » si vous voyez ce que je veux dire !
Qui aurait cru aux Hautes-Côtes comme grand terroir de Bourgogne il y a encore 15 ans... ? Des " terroirs gélifs où rien ne mûrissait " vous dirait Benoit Riffault au Domaine Étienne Sauzet. Aujourd’hui, tout a changé ! Avec Pierre-Yves Colin-Morey (une autre icône de Bourgogne), ils ont misé sur ces terroirs avec audace en rachetant un petit village en direction de Nolay. " Un superbe endroit, un peu comme le coteau ouest rocheux de Saint-Romain... " confie Benoît. Ils y ont sugreffé des chardonnays, et replanté une partie en haute densité. Tout est mené en biodynamie, et mené exactement comme les vignes de Puligny. 2020 est le 5ème millésime de ce duo dans les Hautes-Côtes ! En cave, Benoît précise que la différence avec les autres vins du domaine réside dans les fermentations en foudre au lieu de fûts. Un moyen de booster la minéralité qu’il qualifie de plus granuleuse, et d’éclaircir la gamme aromatique. Il y naît des vins de plaisir qui allient précision et gourmandise ! Chez Chais d’œuvre, nous achetons désormais ces Hautes-Côtes les yeux bandés car les rapports prix/plaisirs sont superbes. En effet, le foncier n’est pas à plusieurs millions l’hectare et permet d’appliquer une belle viticulture, tout en préservant l’accessibilité des flacons. Les passionnés de grands vins qui rêvent des crus du domaine comme Combettes ou Perrières, trouveront dans ces Hautes-Côtes une mise en bouche de grand style !
Pourquoi j'achete
Depuis le début de cette année 2021, nous martelons le message en espérant qu’il vous touche : 2020 est superbe chez Sauzet, une année du feu (le domaine sera sûrement classé 3 étoiles RVF en septembre) grâce à ce millésime impressionnant ! Il propose concentration, énergie, fraîcheur, maturité, état sanitaire génial. On ne dira pas la même chose avec les 2021, que Benoît Riffault nous a fait déguster rapidement avec Louise et Théo... Il y a ¼ de récolte et c’est assez « tendu » si vous voyez ce que je veux dire !
Servez-le à une température de 11°C dans de beaux verres à Bourgogne blanc, un carafage énergique de 15 minutes en jeunesse lui permettra de développer tout son potentiel.
Cette cuvée vieillira quelques années (7/8 ans), vous prendrez plaisir à le déguster sur la jeunesse et l'éclat du Chardonnay.
Carpaccio de bar aux baies roses, citron caviar et émulsion d’oursin.
Conseils de dégustation
Servez-le à une température de 11°C dans de beaux verres à Bourgogne blanc, un carafage énergique de 15 minutes en jeunesse lui permettra de développer tout son potentiel.
Garde - Evolution
Cette cuvée vieillira quelques années (7/8 ans), vous prendrez plaisir à le déguster sur la jeunesse et l'éclat du Chardonnay.
Suggestions gourmandes
Carpaccio de bar aux baies roses, citron caviar et émulsion d’oursin.
Appellation
L’AOC Bourgogne Hautes-Côtes de Beaune s’étend, avec l’appellation Bourgogne Hautes-Côtes-de-Nuits, à l’ouest de la Côte-d’Or. Un ensemble de vallée accueille, sur ses plateaux et ses coteaux, des vignobles perchés entre 350 et 500 mètres d’altitude. Le vignoble des Hautes-Côtes de Beaune représente 755 hectares, partagés en quatre zones : la première, en retrait de la forêt de Corton ; la seconde, proche de Pommard ; une autre, derrière le vignoble de Saint-Romain ; et enfin une dernière prolonge les Maranges. Les sols de ce vignoble sont principalement composés de calcaires et de marnes, sur des terrains dont l’orientation est variable. La différence des températures observée entre le bas et le haut de la Côte explique le décalage des vendanges. Dans ces hauteurs, les récoltes ont lieu au minimum une semaine plus tard, alors que les conditions météorologiques peuvent déjà être difficiles. Les Hautes-Côtes de Beaune produisent des vins des trois couleurs, 80% d’entre eux sont des rouges aux profils parfois très différents, mais tous issus du cépage Pinot Noir. Les blancs proviennent principalement du Chardonnay, les rosés ont obtenu leur propre appellation Bourgogne rosé ou Bourgogne clairet.
Domaine
Histoire et style
Domaine de grande réputation créé à l'orée du XXème siècle, le Domaine Etienne Sauzet associe, depuis le début des années 1990, le négoce et la production d'une palette de Puligny-Montrachet rares. Les achats étant réalisés auprès des meilleurs viticulteurs de la région, la qualité des vins est remarquable. C’est Etienne Sauzet, l’arrière-grand-père de l’actuel propriétaire qui fonda le domaine au début du XXème siècle après avoir hérité de quelques arpents de vignes, et qui décida de produire ses propres vins. À la mort d'Etienne Sauzet en 1975, c'est sa petite fille Jeanine et son époux Gérard Boudot qui lui succèderont à la direction du domaine. Depuis le millésime 2000, leur fille Emilie travaille elle aussi au domaine, épaulée par son mari Benoît Riffault depuis 2002. Ce n’est qu’en 2005 qu’il s’implique pleinement dans le travail de vinification et d’élevage. 10 ans après, Benoît a encore affiné le style Sauzet en signant des vins empreints de leur terroir, à la minéralité ciselée, mais surtout, des vins sans fard, d’une pureté cristalline, d’une élégance et d’un raffinement suprême. L'approche de la vinification et de l’élevage est très classique. Le style des Chardonnays allie une grande pureté d’expression, la finesse sans pour autant manquer de potentiel de vieillissement. Dans chaque cuvée sans exception, Benoît combine avec une rare maîtrise l’identité du millésime, avec son fruité particulièrement savoureux et ses touchers de bouche amples voire sensuels, avec une verticalité minérale, une texture cristalline, une incroyable vivacité qui porte avec grâce et intensité l’empreinte des sols. Du simple Bourgogne blanc au Montrachet Grand Cru, c’est un sans-faute !
Terroir
Sol argilo-calcaire.
Viticulture et vendanges
Conscient de la nécessité de préserver ce patrimoine et ces terroirs d’exception, Benoît a fait évoluer les pratiques culturales. La viticulture au domaine est certifiée en agriculture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2010. Les vendanges sont manuelles en petites caissettes avec un deuxième tri sévère à la cave.
Vinification
Fermentation en levures indigènes en pièces bourguignonnes de 228 L de la tonnellerie François Frères (en majorité), suivie de la malolactique. Élevage poussé sur environ 18 mois avant commercialisation.