"A mourir de plaisir et d'équilibre, c'est le COUP DE FOUDRE assuré à la première gorgée". Voici certainement, la liqueur la plus addictive et la plus savoureuse que j'ai bu dans toute ma carrière juste derrière l'Abricot de Jean-Marc Roulot ! Cette Umeshu, liqueur de prunelle japonnaise macérée dans du Shoshu (vin de riz), a été maturée et élevée en cuve pendant 11 ans, avant d'être mise en bouteille. Son équilibre, juste dément entre la structure alcool (12°c), la douceur très légère, et les sensations bien acidulées créent une alchimie juste sensationnelle, qui n'est pas sans rappeler les équilibres de grands rieslings allemands. Aromatiquement, la prunelle se livre dans un confit ravageur, on oscille entre les notes d'amande, de noyau et de caramel brun dans une authenticité aromatique fabuleuse. Bref, une pure folie en dégustation, qui fait voler en éclat les a priori sur les liqueurs commerciales que l'on trouve un peu partout. A GOUTER AU MOINS UNE FOIS DANS SA VIE !
Sincèrement, l'esthétisme aromatique de cette liqueur est dingue et son équilibre assez unique. Avant la semaine dernière, je n'avais jamais bu un Umeshu aussi fabuleux et j'invite tous les fondus de grands vins à se pencher sur ce trésor japonais. Servie en fin de soirée cet été fin aout avec une tarte fine aux quetsches, c'est la liqueur qui rendra vos convives hystériques de bonheur ! Nous chez Chais d'oeuvre, on a mis une semaine à s'en remettre !