Riedel Veloce Cabernet-Merlot - Lot de deux verres
Une toute nouvelle gamme de verres assez bluffante car résistante, esthétique, très efficace pour exprimer les vins... Leur finition est digne de verres soufflés bouche avec une grande finesse et un poids plume... Chapeau !
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Description
Chers membres, cela fait 10 ans que nous martelons ce message lors de masterclasses ou soirées membres : « Pas de grands vins sans grands verres ! » Cet outil des amateurs qui, par quelques micro détails peut vraiment tout changer en termes de ressenti et d’émotion, n’a jamais cessé d’évoluer au gré des 20 dernières années, offrant ainsi aux passionnés, un choix très vaste de verres. Chez Chais d’œuvre, nous avons souvent fait des tests autour de la verrerie en comparant Zalto (les Autrichiens), Sydonios (France), Spiegelau et sa maison mère Riedel, en se posant la toujours la même question : qui propose les meilleurs compromis entre esthétisme, finesse, solidité, efficience pour exprimer les vins, et bien sur, leur prix ! Un challenge relevé récemment par Riedel qui a investi massivement dans un outil industriel ultra pointu et qui a fait naître « Véloce », une gamme de verres hyper design, inspirée des innombrables séries soufflées bouches de la marque (très belle, mais très onéreuse), mais produite mécaniquement. Lorsque j’ai découvert le lancement de cette gamme, j’ai d’abord cru à des soufflés bouche tant le poids, le raffinement et l’esthétique le suggèrent. Mais non, pas de couture grossière, des buvants et pieds fins, avec une résistance remarquable... C’est juste bluffant ! Alors nous avons décidé de les tester, ils sont en place à l’Atelier Chais d’œuvre depuis le début d’année et franchement, c’est superbe. Je vous invite, si vous cherchez comme nous, à renouveler votre verrerie, à vous pencher sur cette gamme Véloce qui fait une entrée fracassante sur le marché. Que ce soit les Véloce Riesling, Cabernets ou les séries de 4 verres par cépage, la finition et l'efficacité sur les différents profils de vins testés sont superbes alors que les prix restent sages (environ 40% de moins que des verres soufflés bouche). De quoi s’équiper, sans pour autant y laisser un bras !
Sont-ils mieux que les verres « Sydonios » que vous avez aussi sur le site ? Voici la question que me posait hier un membre. Je ne pense pas, c’est très différent. Si j’adore la ligne Sydonios, le savoir-faire « français » et l’audace des fondateurs qui ont osé lancer une production 100% française il y a quelques semaines, Riedel répond ici à une équation singulière : celle du prix- de l’esthétique-de la solidité et de l’efficacité. Pour moi, ce n’est pas la même utilisation ou le même budget. J’ai par exemple à la maison des Sydonios que je sors sur des dîners à 3-4, mais quand on est 12 et qu’il faut s’équiper, l’addition peut monter vite, surtout en cas de casse. Bref, Véloce, on doit l’avouer, répond à un cahier des charges différent, la réalisation est à la hauteur de l’aura de la marque et le rendu franchement superbe. C’est aussi beau à s'offrir qu'à offrir, les emballages sont design, solides... Là encore, c’est un coup de maître ! Chapeau à la marque pour ce pari hautement réussi !
Chers membres, cela fait 10 ans que nous martelons ce message lors de masterclasses ou soirées membres : « Pas de grands vins sans grands verres ! » Cet outil des amateurs qui, par quelques micro détails peut vraiment tout changer en termes de ressenti et d’émotion, n’a jamais cessé d’évoluer au gré des 20 dernières années, offrant ainsi aux passionnés, un choix très vaste de verres. Chez Chais d’œuvre, nous avons souvent fait des tests autour de la verrerie en comparant Zalto (les Autrichiens), Sydonios (France), Spiegelau et sa maison mère Riedel, en se posant la toujours la même question : qui propose les meilleurs compromis entre esthétisme, finesse, solidité, efficience pour exprimer les vins, et bien sur, leur prix ! Un challenge relevé récemment par Riedel qui a investi massivement dans un outil industriel ultra pointu et qui a fait naître « Véloce », une gamme de verres hyper design, inspirée des innombrables séries soufflées bouches de la marque (très belle, mais très onéreuse), mais produite mécaniquement. Lorsque j’ai découvert le lancement de cette gamme, j’ai d’abord cru à des soufflés bouche tant le poids, le raffinement et l’esthétique le suggèrent. Mais non, pas de couture grossière, des buvants et pieds fins, avec une résistance remarquable... C’est juste bluffant ! Alors nous avons décidé de les tester, ils sont en place à l’Atelier Chais d’œuvre depuis le début d’année et franchement, c’est superbe. Je vous invite, si vous cherchez comme nous, à renouveler votre verrerie, à vous pencher sur cette gamme Véloce qui fait une entrée fracassante sur le marché. Que ce soit les Véloce Riesling, Cabernets ou les séries de 4 verres par cépage, la finition et l'efficacité sur les différents profils de vins testés sont superbes alors que les prix restent sages (environ 40% de moins que des verres soufflés bouche). De quoi s’équiper, sans pour autant y laisser un bras !
Sont-ils mieux que les verres « Sydonios » que vous avez aussi sur le site ? Voici la question que me posait hier un membre. Je ne pense pas, c’est très différent. Si j’adore la ligne Sydonios, le savoir-faire « français » et l’audace des fondateurs qui ont osé lancer une production 100% française il y a quelques semaines, Riedel répond ici à une équation singulière : celle du prix- de l’esthétique-de la solidité et de l’efficacité. Pour moi, ce n’est pas la même utilisation ou le même budget. J’ai par exemple à la maison des Sydonios que je sors sur des dîners à 3-4, mais quand on est 12 et qu’il faut s’équiper, l’addition peut monter vite, surtout en cas de casse. Bref, Véloce, on doit l’avouer, répond à un cahier des charges différent, la réalisation est à la hauteur de l’aura de la marque et le rendu franchement superbe. C’est aussi beau à s'offrir qu'à offrir, les emballages sont design, solides... Là encore, c’est un coup de maître ! Chapeau à la marque pour ce pari hautement réussi !