N’y allons pas par 4 chemins, le Perrières de Jean-Baptiste Bouzereau, c’est limite un Montrachet ! C’est bien connu des collectionneurs, les Perrières sont les plus recherchées, les plus intenses, les plus éblouissantes des vins de Meursault. On leur prête souvent le niveau de Grand Cru, et je peux vous assurer que les 2017 de Jean-Baptiste Bouzereau que j’ai pu goûter en novembre dernier pourraient jouer dans la cour de pas mal d’entre eux. Une minéralité saisissante, une puissance allongée démentielle! J’adore le parfait contraste de matière et de relief acidulé, les élevages très fins des bois qui ne marquent pas. On entre dans le Saint des Saints, dans le mythe et dans l’ultra rare. Impossible de résister une demie seconde, à cette incarnation du Meursault parfait !
Dites adieu aux Meursault Perrières à moins de 100€, les prix vont flamber au niveau des Grands Crus de Puligny ! Avec un foncier qui explose, des Américains qui payent 10 millions d’euros l’hectare, et 80% de gel sur les 2016, je peux vous assurer que les prix moyens des 1ers crus Perrières vont doubler dans les millésimes à venir. Si vous êtes visionnaire, pas trop pressé, et comme moi addict aux Grands Blancs, vous ne pouvez pas laisser filer ces merveilles
Carafez cette bouteille en jeunesse et laissez-la s’exprimer pendant au moins 30/45 minutes. Servez-la autour de 11°c pour apprécier tout son volume dans de beaux verres à Bourgogne blanc.
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